Disruption digitale, vous dites ?
Quésaco ?
Plus qu’une transformation de vos vies par le digital et les nouvelles technologies,
c’est une rupture des anciens modèles pour répondre aux enjeux actuels.
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Le 8 octobre 2019 à Grenoble lors de l’Eco-biz,
Stéphane Mallard a développé en 2 points :
« Pourquoi on ne pourra plus exercer nos métiers comme avant ? »,
mais aussi pourquoi c’est un avantage et un atout.
Quel est l’impact des changements et transformations de
l’ancien monde vers de nouveaux paradigmes ?
> fin du salariat,
> intégration de l’Intelligence Artificielle dans les métiers
> renouveau des business models
> changement des comportements d’achat…
Mais aussi, les perspectives optimistes sur le monde de demain :
> une disruption rapide et violente mais qui n’annonce pas la fin du travail de l’homme
> et qui laisse entrevoir des progrès prodigieux
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Un exemple des plus intéressants était la rupture que
certaines librairies avaient su prendre…
…lors des débuts d’Amazon et de sa librairie digitalisée.
Avant d’être le monstre qu’il est aujourd’hui, Amazon s’était spécialisé dans la vente et la livraison de livres d’occasions et neufs, concurrençant avec rage les libraires et leurs boutiques.
Face à cet acteur immatériel, beaucoup d’entre eux ont voulu se mettre sur cette gamme de prix mais ont simplement précipité leur perte.
Tandis que d’autres ce sont simplement posé la bonne question :
Qu’est ce qui fait qu’un consommateur préfère venir dans mon magasin ?
Acheter un livre ? Rencontrer d’autres lecteurs ? Être bien conseillé ?
ou simplement rester et profiter d’un lieu calme ?
Certains libraires ont donc identifié leur véritable plus-value et, au lieu de créer des services de ventes en ligne ou rentrer dans la spirale infernale de la baisse des prix, ils ont intégré la vente de cafés, la possibilité de rester sur place et travailler.
Enfin ils ont fait de leurs locaux un atout ce qui, pour Amazon était un inconvénient.
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C’est aussi la disruption, face à un bouleversement où, toutes les postions établies se retrouvent caduques, il faut savoir créer et non pas suivre.
Et c’est exactement ce qu’on voit se produire dans l’immobilier, beaucoup d’acteurs réfléchissent à ce que le digital peut apporter de nouveaux à leurs clients mais à surtout ce que le digital ne pourrait pas leur apporter.
